Pour avoir des gros chevreuils et des gros orignaux; pensez gestion avant génétique. Louis Gagnon

Je connais très peu de chasseurs de chevreuil qui prennent le bois en automne sans au moins un soupçon d’espoir de récolter le buck d’une vie. Il n'y a là rien de nouveau, car en lisant le livre «Méditations sur la chasse» de José Ortega y Grasset, on apprend notamment que les trophées des cervidés ont intéressé le chasseur depuis au moins 20 000 ans. On y lit également que même si la chasse au Moyen Âge était surtout l’apanage des riches, les panaches faisaient l’envie autant de ces derniers que des pauvres qui chassaient plus pour se nourrir en «braconnant» sur les terres des nobles.
 
Ce qu'il y a de nouveau, pour les chasseurs de chevreuil nord-américains, c’est la découverte des bienfaits de gestions différentes et d’aménagements du territoire pour produire plus de trophées, et surtout de plus gros. C'est ce qu'on traite différemment dans cet article qui contient près de une heure d'entrevue. 

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